Sylvie Bommel

Journaliste depuis 25 ans essentiellement dans la presse économique, je suis spécialiste du management des entreprises et particulièrement passionnée par la composante humaine dans les organisations : style de leadership, relations de travail, mode d’accession au pouvoir, place des femmes dans les comités exécutifs, profil psychologique des dirigeants…

J’aime traiter des sujets sérieux sur un mode léger, vulgariser des sujets complexes. J’aime l’enquête et milite pour l’application de règles  déontologiques dans la profession.

Diplômée d’HEC (1979) et d’un DESS de Sciences Economiques, j’ai commencé ma carrière en 1979 dans l’industrie en tant que Responsable des relations sociales d’une filiale du groupe Alcatel. En 1981, j’y ai notamment élaboré un des premiers plans égalité hommes/femmes.

Après cinq ans, je me suis orientée vers le journalisme en intégrant le magazine Usine Nouvelle dont j’ai été successivement chef de service puis rédactrice en chef adjointe, en charge des rubriques Social et Management.

En 1994, j’ai rejoint le groupe Prisma Media pour lancer le magazine mensuel Management. Toujours chez Prisma, j’ai ensuite occupé des fonctions de rédaction en chef  à VSD (2001), Capital (2007) et GEO (2011).

Je suis actuellement free-lance essentiellement pour le Parisien Magazine pour lequel je réalise des dossiers de couverture dans le domaine politique ou économique  et des articles sur le marché de l’art. J’anime aussi des formations sur le thème « Écrire pour être lu » a l’intention de différents publics : journalistes, cadres, responsables de communication interne.

J‘ai co-écrit un livre d’enquête et de conseils consacré aux licenciements abusifs  » La révolte des virés » et j’en prépare un autre sur un sujet de société.

Je suis administratrice d’une très belle association  » la Sauvegarde de l’adolescence » qui, à travers ses différentes activités,  aide les jeunes en plus ou moins grandes difficultés : de l’orientation professionnelle à la mise à l’abri d’adolescents en danger.

 

Pourquoi tribe?

Pour ses intitulés de soirées ésotériques. La première fois que je suis venue, c’était quelque chose comme  « Soyons fêlés pour laisser entrer la lumière » !

Parce que je connais Bruno Vinay depuis longtemps et qu’il est un peu fêlé lui-même, assez  en tous cas pour se lancer dans des projets aussi fous que tribe!

Parce que la première fois que je suis venue à une soirée tribe, c’était l’hiver,  il pleuvait, j’étais extrêmement préoccupée par  ma meilleure amie, très malade, j’avais juste envie de rentrer chez moi. Et trois heures plus tard, je suis sortie avec le cœur souriant et apaisé. Et j’avais fait de belles rencontres.

Date: 11 février 2015 Thème: Parlons nous